Et après l'Ukraine...
J’écrivais il y a trois semaines que les historiens occidentaux auront honte de notre abandon de l’Ukraine. Ça, c’est en admettant qu’ils restent assez libre de s’exprimer, que la Russie n’a pas poursuivi son aggression et n’a pas engloutti une Europe paresseuse et éparpillée. Comment peut-on dire que ce n’est pas notre guerre ? que nous n’avons pas notre place dans ce conflit ? quand cet aggresseur clame haut et fort que l’Ukraine n’est qu’une première étape 1 ?...